Classe de 6ème 2

Archives en herbe - 17 juin 2020, 07:05

L’étoile de ski caresse le sol.
L’étoile de ski nettoie avec espoir.
L’étoile de ski connaît des caricatures diverses.
L’étoile de ski aime les câlins.
L’étoile de ski adore les loirs qui mangent des poires.
L’étoile se dit qu’il y a du noir dans ce tiroir.
L’étoile de ski croit en moi
L’étoile de ski a quitté des amis.
L’étoile de ski a cassé le carrelage de la salle…
CRAC !

Lucy L.

Je suis collée sur un frigo et il fait froid. Il y a quelques copines photo qui ont froid aussi. J’en ai marre de rester sur le frigo. Je voudrais être ailleurs. Je veux être dans ma chambre. ça fait bientôt cinq ans que je suis collée sur le frigo.

Gabriel H.

On m’a lancé de la main d’une géante. J’ai vu du monde, des grands filets blancs.
J’étais dans l’air mais tout à coup, je me suis retrouvé dans une assez grande main. J’ai senti que cette main était moite. Cette main m’a lancé en l’air, elle était super contente.
Une géante, une fille, m’a déplié, j’étais détendu.
Elle a introduit le haut de son corps en moi. Cette sensation était bizarre mais pas désagréable.
Plutôt confortable. J’étais content de me rendre utile et de servir enfin.
Pendant longtemps cette fille géante m’a porté et m’a chiffonné. J’ai descendu des choses en bois, puis j’ai traversé une grande salle avec des couleurs douces. Ensuite, elle m’a lancé dans un grand bac noir où j’ai retrouvé mes sembables, mes amis, les pantalons, mes supers copines les robes… Une dame m’a lancé (pas en douceur) dans une grande chose ronde où j’ai encore rejoint mes amis. Cette humaine a appuyé sur un bouton. J’ai eu le tournis, j’ai vu tout en rond. Je suis ressorti tout humide et j’ai vu tout en noir, j’avais envie de vomir. On m’a étalé sur un fil à linge. Plus tard, j’étais tout sec.
J’ai été pris et posé sur une grande table. Tout à coup, j’ai eu très chaud à cause d’un méchant objet posé sur moi.

Chloé P.

Mon magnet ne mange jamais.
Mon magnet habite chez Castorama.
Mon magnet arrange la marine.
Mon magnet nettoie la moutarde.

Mon magnet trouve un ami.
Mon magnet et son ami habitent maintenant en Amérique.
Mon magnet et son ami vont à la piscine.
Mon magnet tombe

AÏE !

Mon magnet se fait mal.
Mon magnet part à l’hôpital.

AÏE !

Mon magnet appelle la NASA.
Mon magnet leur dit : « Je voudrais devenir astronaute »
La nasa lui répond : « Ah ah ah ! »
Mon magnet leur dit : Mais qu’est-ce que vous avez à vous moquer ?! »

Léa L.

Le ticket de Disneyland dort dans une Lamborghini.
Le ticket de Disneyland dodeline et danse debout.
Le ticket de Disneyland tient un lingot d’or.
Le ticket de Disneyland dort le dimanche.
Le ticket de Disneyland lit une devinette.
Le ticket de Disneyland lit une lettre.
Le ticket de Disneyland lave la Lamborghini
et

SPLASH !

Louis C.

Avant d’aller dans le cartable, je suis allée dans une pâte feuilletée où j’étais très serrée.
Je suis allée dans le four et j’ai vu des choses rouges, noires.
J’avais très chaud et tout gonflait autour de moi.
Je suis sortie du four et je suis allée dans une boîte, puis au magasin.
Une dame m’a prise et je suis allée au loto avec sa fille.
Après la pause, ils m’ont découpée et la petite fille m’a mangée.
Un petit garçon m’a prise et balancée dans son lit.
J’avais très mal.
Après il m’a reprise et a joué avec moi.
Il m’a coincée dans une bague et j’ai dormi là une semaine.
J’avais faim et très soif.
Je suis tous les jours dans le cartable et j’ai très froid, surtout quand il pleut.

Andréa R.

La photo quel topo !
La photo pilote et fonce dans le poteau.
Boum !
La photo fonce sous les tropiques et dans l’eau
Splatch, splatch !

Alan L.

Je sers à fumer tout à la fin du repas. On met le tabac dans le trou et on allume le tabac. Le grand-père me met à la bouche et il aspire l’air. Quand il m’allume, je ressens une souffrance absolue. Mais ce n’est pas grave si ça me fait souffrir. Le grand-père m’utilise quand même et je suis contente. Mais malheureusement, il m’enferme et ça me rend triste.

Dorian G.

La coupe coule près du pré.
La coupe roule contre la poutre.
La coupe pilote à côté de la police.
La coupe plonge dans la piscine.

PLOUF ! PLOUF !

La coupe prépare une bouteille.
La coupe prend un pistolet et…

PAN ! PAN !

Brian L.

On m’a acheté et une dame m’a donné à une autre. On a fait le voyage, j’avais mes sosies avec moi. J’étais enfoui dans le sac de cette dame, j’étais plutôt à l’aise.
Après le voyage en télésiège on a marché mais moi et mes sosies, nous étions toujours dans le sac. Nous avions envie de sortir mais il fallait garder notre secret.
Un moment, nous sommes arrivés à l’appartement et on nous a rangés dans un tiroir.

Quelques jours plus tard, nous sommes rentrés chez le garçon et il m’a posé sur un bureau, rangé à côté de ses cartes postales et ses cartes d’amis et de Noël.

Il ne m’a ressorti qu’aujourd’hui pour ce projet, celui de l’IMEC.
Je suis séparé de mes sosies.

Marvin L.

Mes chaussures chantent sous la douche mais…
SPLATCH !
Mes chaussures se renversent du shampooing dans les yeux et … SNIF !
Mes chaussures sanglotent et marchent vers le suricate ophtalmo mais … RRRHH !
Mes chaussures ont oublié, mais, elle habitent en Russie et… une avalanche OOHHH !
Mes chaussures n’ont pas mis leur tenue de ski ! Malgré que l’on soit en automne, il fait quand mais froid… GRRR !
Mes chaussures sont sous un oiseau pilote qui s’oriente vers elles et jette un projectile gluant et… BEUARK !
Mes chaussures s’arrachent les lacets des œillets ; elles en ont marre !!
Bon tant pis pour l’ophtalmo, elles rentrent chez elles !
BYE !

Camille G.

J’étais dans un magasin en Italie, à Venise, sur une étagère.
Une dame est arrivée et m’a pris, je n’ai pas compris ce qu’elle disait.
Puis elle a pris cinq autres de mes amis.
Je suis sorti du magasin et j’ai vu plein de gens.
Elle m’a mis dans un sac en plastique blanc.
Après, je suis monté dans un train.
Je suis arrivé dans une voiture et je suis parti.
Quand je suis arrivé dans une maison, j’ai été posé sur la gazinière.

Da’an N.

Mon billet m’a aidé à berner un bandit.
Un policier qui béguaie est arrivé et lui a mis une déculottée.
Mon billet a eu pitié d’une poule : il l’a aidé à traverser sur les pointillés.
Mon billet publie un ticket en train de manger du Comté avec un balai.
Mon billet s’embrouille avec une boule et fait une bataille sur un bateau avec un bâton et fini par bouler la boule qui s’emballe dans le ballet du bateau.
Mon billet joue à la belote avec un blaireau.

Mathéo L.

Quand on a ouvert la boîte, ça m’a fait du bien. J’ai vu ce que mes yeux n’avaient jamais vu. J’ai vu un géant qui m’a prise et qui a joué avec moi. Il m’a jetée contre un mur et je me suis retrouvée sur mes roues, sur le parquet. Comme je n’avais pas de suspensions, j’ai eu mal !
Après, il m’a reprise et ses parents lui ont dit de ne pas me jeter par terre. Quand le géant m’a lâchée, j’ai enfin pu bouger ! J’étais libre !
Depuis, le géant et moi, on a grandi et moi, je perds de la couleur et je vieillis.

Kyl M.

Quand je suis arrivé, je ne voyais rien, il y avait beaucoup de bruits. J’ai vu que j’avais été emballé, je voyais une table et plein d’assiettes. Quand on m’a retourné, j’ai vu plein de gens et la personne qui me tenait a commencé à m’ouvrir et à me lire à l’envers, et puis, à l’endroit. Puis je me suis retrouvé sur une étagère dans une chambre avec des objets que je ne connaissais pas appelés ordinateurs et figurines ! Et un animal, apparemment, un hamster.

Corentin D.

La photo fait un rot au MacDo sans boire de l’eau,
parce qu’elle n’avait pas de chapeau,
ni d’Oréo.

Elle est mal !
Pas de bol !

Quand la photo sort de l’eau,
elle est toute ramollo,

Pas de pot !

La photo avec Naruto mange des Kinder Bueno
avec son cousin Bruno
chez Momo l’asticot.

Danny G.

Quand je suis arrivé ici, j’ai vu des choses dégoûtantes, comme des épinards, des carottes, des champignons et plein d’autres choses. Bref, c’était vraiment répugnant.
Bien sûr, il y avait de meilleurs choses, comme le caramel, les œufs, les fondants au chocolat. Il y avait des choses bonnes et d’autres moins bonnes, mais bon, je n’étais pas seul.
Il y en avait plein d’autres comme moi, mais j’étais quand même le plus beau parmi les autres. Tout le monde m’aimait. Enfin, jusqu’au jour où ils m’ont emporté, dans un carton. Il y avait mes copains puis on est arrivés. C’était la première fois que je sortais de chez moi. Il y avait beaucoup de gens, j’avais peur, mes copains aussi.
Puis c’est là que le carton a été posé sur une table puis on nous a sortis, un par un.
Les gens passaient devant nous et ils nous regardaient plus longtemps que les autres puis, l’un d’entre eux a pris une de mes copines, il l’a regardée et a donné de l’argent à la dame.
Ils sont repartis avec une des cuillères.
J’ai été terrifié, je me disais « et si après, c’était moi ».
Je voulais partir mais je ne pouvais pas.

Louca C.

J’étais heureuse avec mes quatre filles et il y avait plein d’autres Poupées Russes dans le magasin. Jusqu’au jour où un couple m’a achetée. J’étais heureuse. J’allais voir du pays et mes filles étaient également heureuses.

C’était enfin bon, mais d’un coup, ils nous ont mis dans un truc tout noir, c’était UN SAC ! Et en plus, ça puait la mort. Mais c’est là que je me suis rendue compte qu’il y avait quatre autres Poupées Russes. On avait peur et froid et on était tristes.

Après trois heures de route, on était enfin arrivées. Mais après être sorties du sac Boom ! Dans une boîte... Non mais sérieusement, on était déprimées.

Quelques heures plus tard, une jeune fille a pris la boîte et m’a prise également. Elle m’a ouverte puis elle a fait pareil avec mes filles. Une fois rentrée chez elle, elle m’a mise sur son bureau.

Marine B.

Le suricate et sa vie.

Le suricate prend l’avion à Athènes et
PLATCH HO HO
Mon café, non.
BAM !
Arrivé à Paris, un garde forestier le voit
YAH ! Je vais t’attraper !
Tayo ! crie le suricate… Un taré me suit !!

Ok !
Va à Kiabi
Quoi ? Pourquoi ?
Il y a des pistaches
(10 minutes later)
Où est-il ?
En Amérique !
Quoi ? Ok !
T’es là ?
Oui.

J’ai croisé de nouveaux amis :
Léa, Camille et Marine
Ha !

Auzias G.

Je suis sortie d’une machine à imprimer des photos et là, j’ai vu une fille qui m’a prise dans ses mains. Elle était contente de voir ses deux petites sœurs sur moi.
30 minutes plus tard.
Quand la fille est rentrée chez elle, elle m’a mise dans un cadre.
Qu’est-ce qu’il faisait froid là-dedans ! Et je me sentais si écrasée.
La fille m’a mise sur son étagère sous sa télé, car la télé était sur l’étagère aussi.
Une semaine plus tard.
J’ai regardé le réveil pour voir quelle heure il était. Il ne me restait plus que deux heures, trop cool !
La fille va venir me voir pour faire mon moment préféré de la journée. J’en rêve toutes les nuits, de mon moment préféré où elle me voit pour me faire des bisous et aussi pour dire : « Qu’est-ce que vous me manquez, mes petites sœurs chéries » avant d’aller au lit. Et en plus, quand elle me prend dans ses mains et qu’elle m’approche d’elle ça me fait un peu de vent, c’est agréable.

Lilou G.

J’étais complètement enfouie sous le sable. Puis, un jour, une petite main m’a prise. On m’a mise dans une poche toute serrée. On m’a montrée à plein de géants. J’étais sale et donc, on m’a mise dans de l’eau salée. Après, j’étais toute propre.
J’ai été mise dans un grand, très grand sac à roulettes où j’étais entassée entre plein de T-shirts et de pantalons. Ma famille, ma maison et mes amis me manquaient. J’avais beaucoup trop chaud. Les jours sont passés. Je ne voyais rien.

L’air de la plage de cette belle île me manquait.
Et puis, au bout de quelques jours, j’ai revu ce beau paysage et enfin j’ai senti cet air si agréable de l’île.

Je suis retournée dans cette poche serrée. Après je suis montée dans un grand, énorme bateau. Ensuite, je me suis endormie.
Quand je me suis réveillée, j’étais dans une coupelle avec toute ma famille, tous mes amis et une partie de ma maison. J’étais heureuse, je servais de décoration.

Au bout de quelques années, j’ai été mise, avec mes sœurs, dans une enveloppe. Quand je suis ressortie, une jeune fille nous a regardés et a écrit toute une page sur moi.

Lisa B.

Une fausse photo mange un chamallow.
D’un seul coup, elle fait un rototo et chante
Et boit du riz au lait frais chocolaté.
Elle se lève et colle un bout de papier orange et s’oriente vers son ennemi juré, le sale, à cet endroit où il y a un fauteuil chat tout mou.
Elle regarde l’horloge et Auzias.
Elles vont aux attractions et Auzias attrape le gros lot !
Des millions d’euros tombent sur elle au loin.

Raphaël L.