Classe de 6ème 1

Archives en herbe - 17 juin 2020, 07:05

La poupée qui parle avec le poulpe pousse un soupir.
Le poulpe part en laissant son amie derrière
et lui claque la porte au nez.
CLAC !
La poupée se met à pleurer.

Clara H.

J’étais pendue à un crochet et j’ai vu quelqu’un m’attraper. J’ai été placée sur une machine qui faisait Biiiip ! Et je suis allée dans un sac, il faisait tout noir, j’avais peur. Puis, quelques heures plus tard, on m’a sortie de mon sac. Une seule fois ! Et j’ai été rentrée à nouveau.
Sept jours plus tard, j’ai été ressortie pendant dix jours mais j’ai perdu un coquillage. Celle qui me portait m’a rangée. Je ne vois plus mais je me suis fait plein d’amies !

Karla D.

Je suis dans une boîte en plastique pour commencer quand, tout à coup, une main arrive et me prend puis me regarde et me repose.
Dix minutes plus tard, après avoir pris un petit truc qui était dans un carton, elle me reprend. Plus tard, je me fais scanner. Et on me déballe, on me touche et on me prend. On se sert de moi pour brosser un étrange animal en liberté, poilu, pas grand, avec deux petits yeux et quatre pattes.

Un peu après, on me pose sur une cage avec cet étrange animal encore dedans. On me laisse quatre jours sans me toucher puis on me reprend et je sens le cœur de cet animal battre. Il se sentait libre, courait avec sa maitresse dans l’herbe. On m’a reposé et on s’est servi de moi tout l’été dehors. Quand est arrivé l’hiver, on s’est moins servi de moi, mais ce petit animal a grandi. On ne se sert plus beaucoup de moi, peut-être que je suis devenu trop petit.

Mya H.

Toi la carte cachée au fond d’un carton
avec tes carottes et tes cahiers,
quelle calamité !

Mathias V.

J’étais dans un placard bien au chaud, quand soudain, une main m’a attrapé. On a glissé un petit corps tiède et tout mou en moi. On nous a posés sur une couverture et j’ai senti une chaleur humide, ce n’était pas agréable. Puis, on nous a soulevés et reposés. On m’a séparé du petit corps. Ensuite on a posé quelque chose au niveau de mon col, puis une goutte blanche est tombée et j’ai crié : au secours !! On m’a soulevé et posé sur quelque chose de mou, entouré de barreaux, comme si j’étais en prison. Et je faisais des roulades. J’ai senti un truc tout dur qui sentait mauvais. On m’a roulé en boule et mis à la machine à laver, j’avais un sacré tournis. J’étais tout mouillé et on m’a étendu entre deux petites pinces qui me tenaient.

Emie G.

Pour Nolhan je suis un ami fidèle en cours de maths et de français, pour toutes les fois où il a tellement taillé son crayon à papier HB. On a passé de très longs moments Nolhan et moi. J’ai trois ans et lui onze, je suis vieux pour lui. Je m’ennuie dans sa trousse et en plus je suis en colère parce que je n’ai pas d’espace dans sa trousse !

Emie G.

L’embrayage arrange les nuages.
À la plage, en tournage, il mange un flan devant un plat.
L’embrayage enrage en pilotage dans un village.

Arthur V.

On m’a acheté pour une surprise et j’étais le premier chien de ma maîtresse. J’ai quitté ma mère et mes frères et maintenant, j’ai une nouvelle famille. J’ai eu peur dans la voiture et j’étais dans les bras de ma maîtresse avec ma couverture. Je suis entré dans ma nouvelle maison et j’ai passé ma première nuit sans ma mère, ni ma sœur. Le lendemain matin, on m’a pris en photo dans mon panier avec mon doudou. Cette photo est partout dans la chambre de ma maîtresse qui s’appelle Melody. Cette photo a été mise sur le mur de sa chambre et sur son coussin. Je suis bien au chaud dans la chambre.

Melody A.

On m’a prise quand j’étais petite. Je suis sortie d’une imprimante. On m’a accrochée sur un mur auprès d’une fenêtre. Je vois, chaque matin, le lever du jour. Je n’ai ni froid ni chaud, je me plais où que je sois. Quelque fois, je vois un petit garçon que je connais bien. Je suis décrochée d’une punaise pour qu’il ne s’ennuie pas. Je suis changée de place tout le temps pour que je ne m’ennuie pas.

Léa G.

L’écharpe s’échappe s’accroche à une échalote.
Tchack !
L’écharpe de l’arbitre siffle la chatte
qui chante le cha-cha-cha.
L’écharpe change la charmante chamelle en chaton
et monte dans un char de chapeaux.
Le char fonce dans un arbre
et le chaton-chamelle monte sur un échafaudage.
L’écharpe dérape sur le château
CH-CH-CH
et son chapeau s’accroche à la charpente !

Mathys D.

De base, j’étais une simple feuille blanche. Je suis rentrée dans l’objet . On m’a aspergée d’encre, j’en suis sortie pleine de couleurs et pleine d’écritures. On m’a sortie d’un objet qui faisait beaucoup de bruit.

J’étais devenue autre chose. Un homme m’a prise et il m’a mise dans un objet profond où on m’a enfermée. Il faisait tout noir, je stressais. Après un temps incalculable, je voyais enfin le jour. J’étais heureuse, il y avait beaucoup de bruits. Une personne m’a prise et déchirée et regardée.

Après j’ai été remise dans un trou. Il faisait encore noir et j’étais triste mais après un certain temps, je suis ressortie, j’étais contente. Ce jeune homme m’a posée avec mon collègue. On était deux… eh oui ! Il nous a mises dans une pièce. Il faisait nuit puis jour, c’était bizarre. Un jour le jeune homme m’a prise et déposée dans un placard à côté de plein d’autres objets. Il faisait encore noir. (Décidément, j’ai quelque chose avec le noir !!) Maintenant, il écrit des choses sur moi.

Marius D.

Le stylo boit de l’eau dans un océan qui est son lotissement.
Le stylo va à l’hôpital pour son problème d’organe rangé dans un tiroir.
Il va être ausculté et auditionné pour connaître le tissage.

Le stylo mange une orange fourrée à l’oignon entourée de lauriers.
Le stylo prend son tire-fesses pour les Antilles avec ses lentilles.
Le stylo va jouer au loto, en avant pour le tirage ! Oh !
Il a gagné et quitté la loterie.

Mael T.

Je suis en bois et je représente un oiseau noir et blanc. J’ai été fabriqué par une petite fille quand elle était à l’école primaire. Elle m’adorait énormément !! Elle m’avait donné vie et fabriqué avec beaucoup d’amour. Et puis, le temps est passé… c’était long ! Très long ! J’étais dans le noir, j’avais peur !
Et puis, un jour, le papa de cette fille m’a retrouvé. Entre temps, il était devenu papi. Un papi gâteau ! Il m’a donné à Mathis et l’a accroché au milieu du plafond de sa chambre. ça y était ! Je volais de nouveau, j’étais libre !
Oh non ! Voilà les cousins de Mathis ! Ils jouent avec moi.
Attention ! Non mais, faites attention ! Je suis fragile !

Et voilà…
Je ne volerai plus jamais droit. De nouveau, j’ai un maître qui m’aime. Il me fait des bisous. Il me chante des chansons.

Mathis A.

Toi la toupie qui tourne dans ta tour avec tes tourments et ton piment, tu tousses tes hypothèses pitoyables de pirate.

Paul K.

Mon nonosse sauve des chevaux.
Il est parti au galop sur le dos d’un chameau.
Mon nonosse saute de son gros destrier devant la forteresse de l’altesse Bordelesse et tombe sur une hôtesse en stress qui sert un ornithorynque bien sapé qui dévore des os caramélisés.
Mon nonosse agressé voit ses amis se faire bouffer !
Mon nonosse escalade le dos du gros bouffeur d’os, attache sa corde au bec de cette grosse et infecte créature de torture. Il en sort ses amis et leur sauve la vie.

Malee L.

Je suis en Espagne, dans un marché. Il y a beaucoup de bruit. Une fille me regarde et me touche et me retourne. J’ai envie de vomir ! Elle m’achète et me met dans un sac. C’est la nuit, je me détache du frigo et je danse le flamenco. Le lendemain matin, je retourne sur le frigo.

Malou

J’étais dans une vitrine, j’ai vu des personnes géantes. Une main m’a attrapé et a joué avec moi. Puis j’ai quitté la Sarthe et je me suis endormi. Je me suis retrouvé en Normandie où il pleut beaucoup. Je reste sur une étagère.

Enzo L.

La pierre de ma mère picore la pizza de l’hippopotame pirate.
La pierre de mon père pilote un joli cerf très fier.
La pierre de mon frère fait la guerre quand on lui pique ses affaires.

Kilian P.

Je suis dans une chambre. Je m’ennuie sur mon étagère ! J’ai deux amis, une trousse et un crayon. Je les adore. Je suis née chez la grand-mère de la petite fille qui habite cette chambre. Ce sont elles qui m’ont fabriquée.

Je me rappelle que j’ai senti une aiguille me pincer. Elle était grande. Puis, on m’a mis de la mousse dans le ventre.
ça m’a beaucoup chatouillée !

Puis, la petite fille m’a prise dans sa main et m’a mise dans sa valise. Je ne savais pas ce qu’il se passait. Je bougeais beaucoup dans la valise. Puis, elle a ouvert la valise, m’a prise et m’a chatouillée ! Puis, elle m’a posée sur l’étagère.

Jeanne G.

Une balle porte un bibi et se prend dans le canal d’un journal.
Une balle brillante bouscule un bébé.
Une balle rebondit dans un sac de ballons.
Une balle bâtit la Bretagne.
Une balle boit de la bière, devient bourrée et rebondit dans les bras du bourgmestre de Bourg en Bresse.

Léo H.

J’ai été construit grâce à une personne qui m’a apporté dans un garage. J’ai été frappé par des coups de marteau. On m’a peint en vert et j’ai été posé dans un coffre. J’ai été reçu par mon propriétaire qui m’a récupéré. Il m’a mis dans une boîte pendant plusieurs années. J’ai été récupéré par un autre propriétaire.

Evan J.

J’ai été acheté dans une boutique en montagne. Elle a hésité à me prendre et au final, elle m’a pris. Elle m’a posé dans une petite boîte. Il y fait sombre et un peu chaud. J’étais content qu’elle me prenne. Sur moi, il y a un prénom « Cassandra ».
Qui est-ce Cassandra ? Celle qui va me porter sur son bras ? Est-ce que je suis un cadeau ?

Cassandra L.

Le badge étrange du village…

Le badge mange des pages… MHHH !
Le badge range des cages.
Le badge longe le large.
Le badge mélange les nuages.
Le badge mange du potage.
Le badge arrange un piratage.

Axel L.